Last Five Miles

Notre travail

Alberta’s natural landscapes are more than just beautiful — they are essential. They shape who we are, provide for us and hold the stories of generations past. Rolling grasslands, rich forests and vital water systems support not only wildlife but also the people and communities who live and work on this land.

La perte des habitats est la plus grande menace qui pèse sur les plantes et animaux indigènes du Canada. Prévenir la perte ou la dégradation d’habitats essentiels est le cœur de la mission de Conservation de la nature Canada (CNC). Nous œuvrons à travers la province dans les endroits où nos activités de conservation de la nature peuvent le mieux protéger les espèces indigènes et leurs habitats.

Today, Alberta faces serious conservation challenges. As pressures grow and habitats disappear, the need to act has never been more urgent. But there is still time — and there is still hope. Because here in Alberta, when we come together, we make a difference.

Conservation in Alberta isn’t about locking land away. It’s about keeping landscapes healthy and productive, ensuring families can continue to steward and work the land, providing wildlife with room to roam freely and making sure that future generations can know and love these places as we do today.

This work is only possible because of people like you. Join us and our conservation partners in conserving Alberta’s most important natural places — for wildlife, for people and for future generations. Donate today.

Where we are making a difference

Habitat loss is the biggest threat to Canada's native plants and animals. Preventing this loss is the main focus of the Nature Conservancy of Canada (NCC). We work across the province in the places where our conservation activities can have the biggest impact on protecting Alberta's native species and habitats.

Aires naturelles prioritaires

(Click to expand map)

  • Cooking Lake Moraine
  • Pour consulter la page en anglais, cliquez sur « Anglais » ci-dessus.
  • La rivière Red Deer
  • Bow
  • Southern Foothills
  • Castle Crowsnest Watershed
  • Waterton
  • Milk River Ridge
  • Milk River Basin
  • Pakowki Lake
  • Cypress Uplands

Régions

La capitale

Les habitats cruciaux situés à l’est et à l’ouest d’Edmonton abritent une grande diversité d’espèces rares et revêtent une importance mondiale pour leurs concentrations d’oiseaux migrateurs. La forêt boréale (dominée par les trembles et les peupliers baumiers) et les aires de reproduction en milieux humides d’espèces de sauvagine d’Amérique du Nord rendent notre travail dans la région d’Edmonton absolument essentiel.

La rivière Red Deer

Cette région présente la plus grande densité de forêts-parcs restantes dans la région du centre de l’Alberta, dont dépendent des populations de plantes et d’animaux indigènes. Ses milieux humides hautement productifs, ses rivières et autres cours d’eau d’une grande pureté, de même que ses autres habitats naturels revêtent une importance mondiale pour leurs concentrations d’oiseaux migrateurs et une diversité d’espèces de sauvagine d’Amérique du Nord.

Les montagnes Rocheuses

Du haut de leurs sommets jusqu’au pied des contreforts qui s’avancent dans les vallées habitées, les Rocheuses sont indispensables pour une écologie parmi les plus diversifiées au monde, pour les communautés de plantes, d’animaux et de personnes. CNC a une longue histoire dans les Rocheuses canadiennes. Nous sommes le plus grand organisme de conservation de terres œuvrant dans cette région et également celui qui y connaît le plus de succès. En effet, nous avons directement conservé plus de 273 000 acres (110 500 hectares) en Alberta et en Colombie-Britannique en plus d’avoir facilité la conservation de 523 000 acres de plus (211 650 hectares) en travaillant en partenariat avec d’autres organismes et différents paliers de gouvernement.

La Prairie

Les prairies sont fragiles mais très importantes sur le plan écologique. Des oiseaux, comme la chevêche des terriers, la buse rouilleuse et le faucon pèlerin, des animaux emblématiques des prairies, sont de plus en plus menacés par la perte de leurs habitats. Plus de 75 % des herbes mixtes présentes à l’origine ont été remplacées par des plantes fourragères cultivées et des cultures annuelles. Seulement 17 % des prairies à fétuques d’origine existent toujours.